A La Paz, nous y restons 9 jours à courir de quartier en quartier et donc de haut en bas, toujours, pour y rencontrer, là des amis de France qui nous expliquent la situation politique du pays, ici des amis espagnols qui nous éclairent sur les projets industriels dans le Salar d'Uyuni et aussi des amis boliviens, bien sûr. Au détour d’une de ces rencontres, Anna nous fait très peur. Alors qu’elle regardait un défilé imprévu dans la rue, une voiture lui a roulé sur le pied.
Direction la clinique où la pauvre souffrira pendant quelques heures. Heureusement, plus de peur que de très mal mais du mal quand même. En clair : rien de cassé. Faut dire qu’ici, les piétons ne sont pas vraiment prioritaires sur la route et que le klaxon ne sert qu’à les faire courir plus vite ! Quoiqu’il en soit, nous voici un peu coincés dans la capitale bolivienne pour quelques jours, le temps de refaire un contrôle pour voir comment évoluent les multiples tendinites et inflammations de son pied. Cela dit, la situation pourrait être pire. Déjà, le pied pourrait être brisé en mille morceaux au moins, ce qui n’est pas le cas. Même pas un ! Ensuite nous pourrions être ailleurs que dans cette capitale bien surprenante et agréable à vivre parait-il. Du moins, nous, on a bien aimé.
A La Paz, on a soufflé (très) fort dans les montées, mais on s’est régalés de vues sur des montagnes de plus de 6000m. On a essayé de descendre dans les bas quartiers et donc dans les quartiers riches, mais on n’y a rencontré qu’une rivière d’égouts. Pas assez bas ! En fait l’organisation de la ville est la suivante : la Paz est construite dans un canyon, au premier quart du petit plat de la vallée, on trouve la plaza San Francisco, c'est-à-dire le quartier où on a vécu. De part et d’autre de cette place, il y a les anciens quartiers, le colonial et l’indien. Il y reste quelques beaux bâtiments, qui tirent un peu la langue et qui sont peu à peu remplacés par d’autres, plus modernes, mais moins charmants. Autour de ses deux quartiers, en montant, on a des quartiers populaires, voire très populaires… En descendant, on trouve dans cet ordre, le quartier des bureaux (El Prado), Socopachi, un quartier où on trouve des ONG, des expatriés, des habitations résidentielles, des bars et des restos sympas… ainsi que des jeep écraseuses de pieds… Plus bas encore, bien plus bas, c’est la partie sud de la ville : centre commerciaux, immeubles modernes et autre quartiers des affaires : climat plus doux et respirations moins haletantes. Y parait même qu’il y a des bars et des restaurants avec des terrasses !
Alors La Paz, la paz ? Ben, même si je trouve que ça sonne bien, la Paz c'est bien mais ce n’est pas vraiment la paix.
--
Kri kri
Irkita
Direction la clinique où la pauvre souffrira pendant quelques heures. Heureusement, plus de peur que de très mal mais du mal quand même. En clair : rien de cassé. Faut dire qu’ici, les piétons ne sont pas vraiment prioritaires sur la route et que le klaxon ne sert qu’à les faire courir plus vite ! Quoiqu’il en soit, nous voici un peu coincés dans la capitale bolivienne pour quelques jours, le temps de refaire un contrôle pour voir comment évoluent les multiples tendinites et inflammations de son pied. Cela dit, la situation pourrait être pire. Déjà, le pied pourrait être brisé en mille morceaux au moins, ce qui n’est pas le cas. Même pas un ! Ensuite nous pourrions être ailleurs que dans cette capitale bien surprenante et agréable à vivre parait-il. Du moins, nous, on a bien aimé.
A La Paz, on a soufflé (très) fort dans les montées, mais on s’est régalés de vues sur des montagnes de plus de 6000m. On a essayé de descendre dans les bas quartiers et donc dans les quartiers riches, mais on n’y a rencontré qu’une rivière d’égouts. Pas assez bas ! En fait l’organisation de la ville est la suivante : la Paz est construite dans un canyon, au premier quart du petit plat de la vallée, on trouve la plaza San Francisco, c'est-à-dire le quartier où on a vécu. De part et d’autre de cette place, il y a les anciens quartiers, le colonial et l’indien. Il y reste quelques beaux bâtiments, qui tirent un peu la langue et qui sont peu à peu remplacés par d’autres, plus modernes, mais moins charmants. Autour de ses deux quartiers, en montant, on a des quartiers populaires, voire très populaires… En descendant, on trouve dans cet ordre, le quartier des bureaux (El Prado), Socopachi, un quartier où on trouve des ONG, des expatriés, des habitations résidentielles, des bars et des restos sympas… ainsi que des jeep écraseuses de pieds… Plus bas encore, bien plus bas, c’est la partie sud de la ville : centre commerciaux, immeubles modernes et autre quartiers des affaires : climat plus doux et respirations moins haletantes. Y parait même qu’il y a des bars et des restaurants avec des terrasses !
Alors La Paz, la paz ? Ben, même si je trouve que ça sonne bien, la Paz c'est bien mais ce n’est pas vraiment la paix.
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Kri kri
Irkita
oh la la je savais pas pour le pied d'Anna! T'as du avoir super mal! J'espere que ca va mieux maintenant.
RépondreSupprimerKri kri,
RépondreSupprimerJe vois ton commentaire avec beaucoup de retard. N'empêche, que à cette époque là cela
lui faisait encore mal... Maintenant, c'est presque de l'histoire ancienne.
Kri kri,
Irkita