Finalement, il fallait quand même qu’on s’y arrête dans cette ville jumelle de La Paz. Sous la surveillance des pics enneigés de plus de 6000 mètres, on y retrouve, comme à La Paz, les embouteillages des minis-bus plus nombreux que les passagers. On y fait la rencontre de la viande séchée et de la viande pas encore séchée. Je frémis devant les fétus de lamas qu’on enterre sous les fondations des nouvelles maisons, il paraît que ça porte bonheur. Mais la véritable découverte, c’est la vue qu’on a de là-haut, del Alto, sur la Paz, tout en bas. Je reste museau bé devant le spectacle magnifique de cette ville tentaculaire.
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Kri kri
Irkita
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